La Poste s'en mêle et communique.
Connaissez-vous le tamier commun (dioscorea communis L.) de l'ordre des dioscaréacées ? C'est sous le nom d' « herbe aux femmes battues » que cette plante grimpante aux fleurs verdâtres, en forme de clochettes groupées en grappes, est plus connue, dont le gros rhizome a souvent été utilisé contre les contusions. Les jeunes pousses du "reponchon" (photo) sont consommées comme des asperges.
Au même titre que le harcèlement moral dans le monde professionnel, le délit de violence psychologique au sein du couple sera pénalement réprimé : « les mots peuvent être terriblement nocifs, parce qu'ils demeurent et détruisent par un lent travail de sape. »
Seront considérées comme violences psychologiques au sein du couple « les agissements ou les paroles répétés ayant pour objet ou pour effet une dégradation des conditions de vie de la victime, susceptible de porter atteinte à ses droits et à sa dignité ou entraîner une altération de sa santé psychique ou mentale. »
La création de ce délit « va permettre de prendre en compte les situations les plus sournoises, ces situations qui ne laissent pas de traces à l'oeil nu, mais qui mutilent l'être intérieur des victimes. »
Les peines prévues sont sévères : trois ans d'emprisonnement et 75 000 € d'amende.
La Poste a émis, le 3 mai 2010, un carnet de 12 images autocollantes consacrées aux "violences faites aux femmes". Aurait-elle prévu d'en faire autant aux violences psychologiques de tous ordres ? Tel que le définiront le Parlement et le Sénat, cet automne ?
Témoignage vivant :
Lundi 17 janvier 2005, il est 9h 30, nous nous levons et déjeunons puis discutons de notre matinée : je vais à la Poste puis à la déchèterie.
Pour la Poste, je lui demande si elle a fait le chèque d’approvisionnement mensuel du 15 ; cela déclenche chez Mme ses délires habituels alors que nous sommes le 17, qu’elle aurait dû approvisionner le compte depuis au moins six jours, elle n’a encore rien fait … et s’offusque de ma question … ! ! ! ! !
Son rapport avec l’argent est désastreux … dès qu’on lui parle du compte joint, c’est comme si on lui déchirait le cœur … Elle est d’une radinerie qui devient proverbiale.
A nouveau j’assiste au plus beau déballage de purin qu’une femme peut déballer : Un DISJONCTAGE complet !
Sans doute de tous les siècles à venir ... avec des insultes ignobles envers mes parents et ma fille.
Elle devient de plus en plus "folle", elle se met hors d’elle toute seule.
Cela dure de 9h30 à 22h. Une demi-journée d'insultes ! Il faut avoir des capacités immenses pour débiter un tel ramassis d'ordures, de façon si discontinue. De ma part, ma capacité à supporter l'est encore plus ... car je "surnage" sur une "eau croupissante d'immondices", pendant que Mme s'enfonce dans son ignominie !
A 12h30, j’ai le temps de noter, devant elle, les exemples de ses paroles infectes, dotées du plus abject concept de pourriture : Elle est devenue une véritable FOSSE A MERDE, FOSSE A PURIN qu’elle déverse à volonté.
Son premier mari disait d’elle qu’elle était bonne à mettre au VIDE-ORDURES.
« Ta mère est une garce et une salope ! » ...
... ... ... ... ... Les insultes pleuvent sans discontinuer ... ... ... ... ...
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Elle est incapable de se prendre en charge. Depuis trois années, elle n’a rien fait de ses dix doigts. Au début de notre vie à F., en 1999 – 2000 et 2001, elle a réalisé 82 tableaux mais depuis plus rien. Elle s’est elle-même mise dans cette situation de ne rien faire.
Elle argumente en disant qu’elle est en invalidité, mais ce n’est qu’une façade pour ne rien faire.
Elle argumente qu’elle est fonctionnaire en invalidité et qu’elle ne voudrait pas que l’administration lui reproche de faire quand même des tableaux mais encore une fois, ce n’est que pour excuser son envie de ne rien faire.
Elle argumente en disant qu’à F., elle n’est pas bien, qu’elle ne peut pas peindre ; mais, là aussi, c’est inexact puisque ses seuls 82 tableaux ont été réalisés à F..
« Tu m’as protégée ? moi ? pendant toute l’année 2004 ? »
De quelle protection parle-t-elle ? alors que j'étais en fauteuil roulant ... à
Elle me reproche même de m’être fait opéré intentionnellement, pour devenir invalide … Elle débloque complètement.
Pendant que j’étais en fauteuil roulant, elle trouvait encore le moyen de se plaindre, d’accuser mes parents de la surveiller, de la « fliquer » …
J’aurais dû, à son avis, engueuler mes parents et leur dire de la laisser tranquille … Pendant cette année-là, Mme ne s’est pas gênée pour faire 14000 km pour elle toute seule (en plus des 8090 km pour venir me voir seulement 28 jours sur 335 soit même pas un dixième de son temps). Alors, elle n’a pas à se plaindre.
Elle a mené sa petite vie comme elle l’a voulue, en allant trois fois à M., en ramenant la quasi totalité de mes affaires, surtout celles de décorations, les coupes, les livres sur les BD... ; c’est donc bien elle qui a organisé mon départ de la maison de M., pendant que j’étais en fauteuil roulant. Elle ne s’est pas demandée, à ce moment-là, si elle avait besoin de moi ; elle s’est bien débrouillée toute seule.
- « De toute façon, tout le monde le dit … tu es sous-jacent ! »
Ceci est son argument principal d’appeler à sa rescousse « tout le monde ». Ainsi, elle n’est plus seule, « on » la soutient, « tout le monde » est avec elle pour asséner ses propres dires. Mais, je connais son manège qui consiste à faire parler les autres pour elle, pour avoir plus de poids, croit-elle, dans son argumentation. Parfois, elle avance « Mon avocat m’a dit … « ou bien « Mon conseiller juridique m’a dit … « ou bien encore « Mon notaire est contre toi, tes arguments ne tiennent pas … » Etc … etc …
- « Qu’est-ce que tu fous encore à F., à 57 ans ? »
- « Tu me sacrifies à ta mère, j’en ai ras le bol … »
- « Sale connard de putain de merde … »
- « Sale trou du cul … »
- « Vas enculer ta mère … »
- « Vas enculer ta fille ! … » ... ...
A 12h45, je ne tiens plus d’entendre toutes ces insanités ; aussi, ployant sous les insultes, je téléphone aux gendarmes pour leur communiquer le comportement odieux de Mme. Ils ne trouvent qu’une solution, comme me le disaient déjà ceux de F. : SE SEPARER et DIVORCER.
Est-ce la peine de la supporter … pour qu’elle ne disjoncte pas complètement alors qu’elle le fait tous les jours ?
Aussi, si elle fout sa vie en l’air, tant pis pour elle.
Depuis 1996, elle ne m’a pas remboursé un seul centime de sa dette «d’honneur», sur papier blanc, admis par le notaire mais qu’elle refuse (sans doute pour s’amuser ?)
Finalement, la discussion avance, elle dit vouloir me donner 4000 euros en mars pour que je puisse me véhiculer si elle va vivre à M. car il n’est pas question que j’y vive à temps plein ou que je vive à F. sans voiture. Le restant sera remboursé lors de la vente de la maison, soit au plus tôt en janvier 2007.
J’ai passé toute la matinée à tenter de la faire taire, je n’ai finalement trouvé qu’une méthode, celle d’ouvrir la porte fenêtre quand Mme « hurle ses insanités » pour que les voisins l’entendent. Ainsi, enfin, elle se tait, elle se réfugie dans le couloir ou dans sa chambre et ne dit plus rien.
Quand je rentre du garage pour la énième fois, car à chaque fois je suis obligé de repartir sous ses injures ... elle se lance à nouveau dans ses délires dans lesquels je ne veux pas tomber et dans lesquels je ne tomberai jamais.
Finalement, à 20h, elle mange seule.
Je rentre pour manger mais comme je ne peux pas avoir la paix, je suis obligé de prendre de la nourriture et d’aller manger dans le cellier pour avoir un peu de calme.
Elle me dit :
- « Tu m’as fait disjoncter ! … »
Rép. de MRC : Tu disjonctes toute seule, tu n’as pas besoin de moi. Je ne te laisse aucune emprise sur moi.
Elle-même me rétorque mes propres arguments :
- « Tu n’auras aucune emprise sur moi … Je conserve mon intégrité physique et mentale … Tu ne m’auras pas … »
Pas de réponse de ma part, cette remarque est sans intérêt pour moi …
Il est bien clair que je ne resterai pas constamment avec cette femme qui déverse un peu trop souvent ses propos orduriers sur moi et ma famille …
C’est bien qu’elle veuille aller habiter à M. … ou L.-R. … ou bien là où elle veut … mais pas à F.. Mais qu’elle s’assume par conséquent … c’est elle qui a organisé sa vie dans ce sens-là …
Pour éviter les frais et pertes d’argent, je ne veux pas divorcer une deuxième fois. On se séparera et … c’est tout.
J’irai habiter à F. … et elle, là où elle voudra.
(in « Halte au harcèlement conjugal » de Marc Robert CONSTANT)