Loin de l'agitation portée à son paroxysme lors du conseil municipal du 14 juin dernier, le journal l'Humanité fait paraître un article expliquant les vraies raisons de la fermeture des remontées mécaniques de la Sambuy : [copier le lien dans votre barre de recherches]
https://www.google.com/url?sa=i&url=https%3A%2F%2Fwww.humanite.fr%2Fplanete%2Fmontagne%2Frechauffement-climatique-la-sambuy-le-ski-c-est-fini-805371&psig=AOvVaw0-klnGtTk87zGYNaMEft9L&ust=1692523775606000&source=images&cd=vfe&opi=89978449&ved=2ahUKEwiot8_EtOiAAxXXpycCHaeUCEQQr4kDegQIARAx
https://www.humanite.fr/planete/montagne/rechauffement-climatique-la-sambuy-le-ski-c-est-fini-805371
La petite Sambuy vue de la vallée du Nant sec
Les deux pointes de la Grande et de la Petite SAMBUY
en hiver
idem, en été
Les élus ont rencontré les résidents des hameaux de Mercier, Vesonne, le Villard et le Mont-Bogon
Vendredi 7 avril, le maire Jacques Dalex et les adjoints Mmes Boisson, Brassoud, Dumont-Thiollière et MM. Brachet, Gaillard, Portier et Vignier et Mme Thorens conseillère, à l’ancienne école de Vesonne, ont échangé avec quarante personnes.
En première partie, le maire a communiqué sur les grands projets en cours ou prochainement concrétisés et les réflexions menées pour améliorer la vie des citoyens.
Le premier gros dossier est celui du déficit de La Sambuy, problème économique aggravé par le réchauffement climatique.
La signature avec l’État du contrat « petite ville de demain » en vue de renforcer l’attractivité du centre bourg va faciliter la finalisation de l’îlot Sorbonne. Des salles adaptées aux pratiques de la gymnastique, la danse et les arts martiaux sont à l’étude dans un nouveau centre sportif. Sur le terrain Prud’homme une nouvelle médiathèque plus vaste, des locaux pour la Micro Folie et une salle d’exposition sont envisagés ainsi que l'étude d'une restructuration du bâtiment administratif est en cours. Un nouveau centre technique municipal est également dans les cartons.
Le maire a relaté le bon fonctionnement de la Maison France Service. Il est satisfait du bon climat qui règne à la Communauté de communes dont les compétences au service des 7 communes se développent, avec le souhait d’une crèche intercommunale et des mutualisations nouvelles.
La création très prochaine d’une école de bijouterie sera intégrée dans un pôle de luxe sur une partie du site S.T. Dupont et sera rapidement pourvoyeuse d’emplois.
Les habitants se sont aussi exprimés :
La qualité de vie des quatre hameaux est agréable mais les principales nuisances découlent de site de parapente au col de la Forclaz dont l'excellence n'est plus à démontrer. En été, le trafic routier devient très intense, la vitesse inadaptée tant dans le village que sur la montée, et les nuisances sonores difficilement supportables. Des solutions ont été évoquées et découlent de grandes concertations entre plusieurs communes.
Une demande de passerelle est sollicitée pour sécuriser les piétons au pont de Vesonne.
Les participants à la rencontre regrettent les dépôts inesthétiques et dangereux de « casses de voitures ». La réponse est qu’une action est engagée par la mairie.
Le devenir de l’ancienne école de Vesonne a été évoqué. Le maire a incité les habitants à recenser le nombre d’enfants concernés et faire remonter la démarche à l’Éducation nationale. Il soutiendra le projet, ainsi que celui d’un lycée au sud du lac.
La réunion s'est tenue dans l’ancienne classe unique de Vesonne où il n’y a plus d’élèves mais qui est utilisée pour des moments de vie locale : jeux de société, préparation du char de carnaval… et dont les habitants souhaitent la réouverture.
Les correspondants de presse font sérieusement leur travail.
Ce sont
"des gens qui aiment écrire et qui aiment les gens"
2004-2023, vingt années au service des concitoyens représentées par 52 cahiers d'articles. Plus qu'un roman, c'est un roman-fleuve.
Bravo Marité Martinet. Vous savez mettre à l'honneur nos compatriotes bénévoles qui oeuvrent dans l'intérêt de tous.
C'est pourquoi le Dauphiné a tenu à vous mettre à l'honneur, en toute simplicité. Comme vous le dites, vous-même
"Je fais mon travail sérieusement, mais sans me prendre au sérieux !"
Avec ses collègues des Sources du lac d'Annecy
Les voisins de Verchères ont été heureux de retrouver le rassemblement estival
Dimanche, une trentaine de résidents du hameau des hauts de Faverges ont assisté au traditionnel « apéro » de Verchères. Ils ont honoré l’invitation lancée par Olivia et Sylvie, rassembleuses depuis une dizaine d’années. Pour l’événement ces dames et leurs voisins ont aménagé un agréable salon d’été à côté de la fontaine aux poissons. La source qui s’écoulait librement et rafraîchissait les boissons est tarie actuellement.
À l’heure du déjeuner les habitants ont rejoint le lieu de rendez-vous pour un apéritif dînatoire partagé. Chaque famille a participé à achalander un buffet gourmand. Les enfants étaient heureux de se retrouver et jouer ensemble, sans contrainte. De nouveaux résidents ont apprécié ce moment de convivialité pour faire connaissance.
Citoyens Anglais Nigel et June nouvellement installés à Verchères
Parmi les habitants, June, professeur d’Anglais en France et Nigel informaticien, ont emménagé il y a une semaine seulement au village. Ils ont été heureux de la fête des voisins pour faire des connaissances. Le couple a eu de nombreuses adresses. Ils ont résidé à Thônes, en Espagne, en Italie et en Allemagne. Leur fille résidant à La Clusaz ils ont choisi de se fixer dans notre belle région. Chez nous ils aiment les montagnes, le climat, le fromage et le vin. Ils ont toujours été bien accueillis par les savoyards, réservés au début des relations puis « amis pour la vie ».
" Appréhender l'Histoire de Faverges "
un travail de longue haleine qui ne s'apprend pas en un seul jour.
Malheureusement, il est trop souvent la conséquence de copiage, de pillage, sans recherches personnelles, même parfois d'historiens chevronnés.
Depuis quelques décennies, il se raconte un peu n'importe quoi sur l'Histoire de Faverges, des non-sens, des absurdités, des incongruités, des futilités, etc...
Voici quelques ''perles'' rencontrées dans des livres, des bulletins, des livrets ou entendues lors de visites :
L'ancienne manufacture de soieries aurait été construite à la place d'un couvent ! celui des Annonciades qui se trouvait pourtant à Chambéry au bord de la Leysse. En réalité, les bâtiments du Thovey ont été érigés sur des prés vierges de tout bâtiment après la construction de la route d'Albertville (1818-1824).
Que Nicolas Blanc qui a 9 ans lors de la Révolution Française n'aurait jamais été français ! Pourtant, tout le monde a appris que la Savoie a été envahie par les révolutionnaires français et le Val de Thônes en a d'ailleurs bien souffert ainsi que six Merlinois qui ont même été guillotinés à Paris pour « Crime d'aristocratie ». En réalité, Nicolas BLANC a acquis la citoyenneté française dès le 27 novembre 1792 grâce aux lois républicaines, il est redevenu sujet du roi de Sardaigne le 21 novembre 1815.
Que Jean-Pierre Duport serait né à Annecy, alors qu'il figure bien dans les registres de Faverges ; c'est une confusion avec son cousin homonyme né à Termignon (en Tarentaise). En réalité, une page lui était consacrée sur le Web. Bien qu'il fut à l'origine de l'industrialisation de la commune de Faverges, un Historien n'a vu en lui qu'un ''homme ayant eu une femme, des enfants, une entreprise, et étant mort en ayant vécu sa vie, somme toute, bien banale'', n'a pas hésité à supprimer sa page. Pour en savoir plus, suivre l'actualité de l'Histoire de Faverges sur le blog de l'auteur.
Que la forme ovoïde de la maison dite ''Belle jardinière'' aurait une tour d'enceinte de la ville moyenâgeuse. En réalité, il ne s'agit que d'un escalier intérieur car il n'existait encore que des prés en 1738, année de confection du cadastre sarde, et la Maison des Frères Capucins qui a subi l'incendie de 1783, et qui se trouvait au-delà du mur d'enceinte. (Les moines capucins n'ont jamais été des guerriers qui défendaient la ville au-delà des limites de celle-ci ! Et pourtant, les ABF ont conservé la tour en 2019).
Que l'église de Faverges aurait été construite sur une « chapelle » ; il serait bien étonnant que nos anciens aient pu concevoir l'édification d'une simple chapelle pour 1200 âmes. En réalité, il ne faut pas confondre avec la '' chapellenie'' qui est le territoire sous la responsabilité d'un prieuré (l'on pourrait ajouter la volonté manifeste des curés du prieuré de Viuz de minimiser la qualité des vicaires de Faverges, de peur de perdre leur prérogative sur les rentes, ce qu'ils réclameront d'ailleurs plus tard).
Que le torrent de Saint-Ruph s'appellerait la Glière. En réalité, il s'agit la "glière" est un terrain couvert de cailloux, graviers, galets et sables de chaque côté du ruisseau qui les charrie ; on trouve ainsi une glière sur de nombreuses autres communes du canton telles que Marlens, Saint-Ferréol et Doussard. C'est un terme local commun à de nombreuses berges de ruisseaux et torrents. (à Faverges, on parle de "glaire", quand on va sur les lieux où le torrent dépose sa glière)
Et tout dernièrement, sur les ondes d'une radio locale, que le foyer municipal actuel aurait été construit sur l'emplacement même de la Soierie ancienne. En réalité, l'usine a été détruite en 1990 et le foyer actuel, construit en 1937 de l'autre côté de la route, a pris son nom.
Il est donc devenu urgent de rétablir la vérité historique de notre commune. On ne peut pas continuer à laisser apparaître ainsi Faverges dont l'histoire est racontée avec tant d'erreurs.
Il pourrait en être de même pour la trop fameuse « Papeterie de Faverges » dont l'existence est signalée vers 1350, dans toute la France. Tous les vrais chercheurs – dont votre serviteur – se sont heurtés à un vide total, à tel point qu'elle peut être qualifiée comme ''L'Arlésienne de Faverges''. Qu'elle soit citée par deux ou trois auteurs, n'atteste aucunement de son existence à cette date. (Voir l'article consacré à cette recherche sur la page http://0z.fr/cirvf )
Une commune dont l'histoire est si peu méconnue, voire défigurée, n'a plus d'identité réelle, et devient sans âme précise, elle se construit sur des non-sens, des absurdités, des incongruités, des futilités.
Rejoignez les adhérents d'Histoire et Patrimoine,
si vous voulez
« Savoir d'où l'on vient pour savoir où l'on va ! »
phila.faverges74 @ wanadoo.fr
Les communes de Faverges et Bülhertal souhaitent redynamiser leur jumelage
Les comités de jumelage et les élus de Faverges-Seythenex et de Bulhertal se sont rencontrés à Berne mardi 16 novembre.
Cette rencontre chaleureuse et nourrie d’échanges constructifs a été l'occasion pour les maires Jacques Dalex et Hans-Peter Braun de faire connaissance.
Les délégations municipales étaient accompagnées par les présidents des comités Ulrich Gagneron et Tino Rettig et des membres élus.
Au cours des conversations très constructives, ils ont établi le constat d'une nécessaire redynamisation et l'envie de sensibiliser un large public où les jeunes se sentent très investis. Les membres des deux comités ont réfléchi à de nouvelles idées pour dynamiser le jumelage : échange entre élus, les enfants des écoles et les collégiens, organsiation de séjours découverte de la région de Bühlertal et de Faverges, marchés de Noël, carnaval allemand et Français...
Les idées sont nombreuses et les projets sont en construction. Le maire de Faverges a renouvelé pleinement son soutien aux forces vives du comité de jumelage pour animer et faire vivre les liens entre les deux communes. (Photos Mairie de Faverges)
Le secteur appelé ''îlot brûlé'' abritait au début du XXe siècle des habitants et propriétaires identifiés lors du dénombrement de 1906.
Dans le suivi des maisons, Cyrille Chappuis ouvrier en soies chez Stünzi et sa famille de quatre personnes habitent dans le passage de la Pâquière, faisant anciennement le lien entre la rue Carnot et la rue Nicolas Blanc, seule route menant à Tamié, au bout de laquelle se trouvait la porte supérieure.
Henri Ailloud tanneur propriétaire exploitant possédait une roue à aubes qui tournait encore dans son logement pour son moulin à écorces, en déversant l'eau sur la rue jusqu'à sa fermeture en 1901.
Joséphine Dubois possédait la maison à deux étages (à droite sur la carte), et à la suite en recul par rapport à la rue, Antoinette Brachet, André Cagnino employé chez Stünzi, Gruet Joseph buraliste, et dans l'angle de l'îlot logeait le charpentier Jean Claude Gonod.
Derrière le lavoir dans la maison isolée en plein air au bord du biel, logeait la famille d'Auguste Servoz, descendue de Chambellon.
François Masset occupait la maison à deux étages (à gauche sur la carte) dans laquelle a officié le dentiste Brunet.
Dans la rue Nicolas Blanc à l'opposé des habitations de la carte, habitaient le géomètre Jacques Viannay, le garçon de café Georges Ollier, puis Jean Cattet, et dans l'angle de l'église en face des anciennes caves du château, Gabriel Perret propriétaire rentier et Gaspard Chapelet cultivateur.
(Livre de référence « Faverges en 1906 » disponible à l'Office du tourisme © Bernard Pajani)
Aujourd'hui, on remarquera également la réfection du clocher de l'église qui a été réalisée en 1959 pour servir de paratonnerre.
Après l'incendie du 23 juillet 2018, l'îlot a été dégagé des nombreux gravats pour laisser place à un lieu de détente que la nouvelle municipalité, après consultation des riverains et habitants, et l'avis de l'Institut National de la Recherche Archéologique Préventive, va réhabiliter. Y aura-t-il reconstruction, création d'un parking, d'un square arboré en bordure du biel remis au jour ?
L'avenir le dira !
Au début du XXe siècle, la place Gambetta de Faverges, anciennement dénommée place de Traktir puis place Jacquard, est occupée par une fontaine et un poids public. La fontaine a été déplacée dans la rue de la République, au-devant de l'hôpital Alfred-Blanc mais n'est pas alimentée d'eau. Le poids public ne servant plus a été démonté vers 1955.
Avant la plantation de l'arbre, seuls sont présents la fontaine devant le kiosque du poids public, ainsi qu'un personnage en tablier et canotier.
On distingue l'arbre dans son fourreau de protection contre les chocs éventuels.
Une quinzaine d'années plus tard, l'arbre a grandi et présente des branches plus épanouies et bien feuillues.
Après la seconde guerre mondiale, c'est aussi sous son ombrage que les anciens combattants, déportés et prisonniers de guerre se sont rassemblés le 7 octobre 1945 pour une photo-mémoire.
1. ................. 2. LOSSERAND Victor 3. ................. 4. BOTTINI Jacques 5. DURET René 6. REALIS Albert 7. MARANGONI ................. 8. FAVARIO Jean 9. VEYRET Maurice 10. SAINT MARCEL .......... 11. CHAPPUIS Marcel 12. ................. 13. GUAZZONI Alphonse 14. ................. 15. TARONI François 16. DALL'AGNOL Antoine 17. BAL Auguste 18. ARETHENS Louis 19. DUSSOLLIET Paul 20. GURRAL Fernand 21. NOZET Albert 22. MARC Joseph 23. BRACHET Louis 24. ANCILLON Emmanuel 25. ................. 26. DUSSOLLIET Paul 27. ................. 28. BERGER Pierre 29. GONNARD François 30. VARET Léon 31. ................. 32. ................. 33. GAUTIER Henri 34. MOLLIER Antoine
Les médaillés militaires se joignent à eux.
Les déportés rassemblés sous le tilleul.
De gauche à droite : 2e rang : 1. VEYRET Maurice 2. ROFFINO Léon 3. ................. 4. TARANTOLA Jean 5. BASSO Yves 6. VUSNER ................. 7. DALMASSO Joseph 8. MOSQUET Attilio 9. FAVRE René
De gauche à droite : 1er rang : 10. LAURENT Léon 11. MERMIER Jean 12. MERMIER Anthime 13. MALFROID Marcel 14. THABUIS Jean 15. THABUIS Raymond
Le tilleul aujourd'hui, sur une place rénovée récemment.
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Un rendez-vous incontournable se tient chaque jeudi de 15h à 17h, salle 101 de la Maison des Associations, place des Combattants d'AFN.
Prochaine réunion le jeudi 8 octobre.
Prendre rendez-vous au 04 50 44 53 27 ou bien au 04 50 44 53 76.